5 novembre 2003
Contrat de ville de Montréal – « Le premier ministre doit répondre à l’appel des gens d’affaires »
QUEBEC, le 5 nov. /CNW Telbec/ - La députée de Rosemont et porte-parole de l'opposition officielle pour la Métropole, Mme Rita Dionne-Marsolais, a tenu à joindre sa voix à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour demander au premier ministre de respecter, à très court terme, les engagements financiers contenus dans le contrat de ville de Montréal pour l'année financière en cours. "
QUEBEC, le 5 nov. /CNW Telbec/ – La députée de Rosemont et porte-parole de l’opposition officielle pour la Métropole, Mme Rita Dionne-Marsolais, a tenu à joindre sa voix à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour demander au premier ministre de respecter, à très court terme, les engagements financiers contenus dans le contrat de ville de Montréal pour l’année financière en cours. « A quinze jours de l’échéance fixée par la Ville de Montréal, les belles paroles ne suffisent plus. C’est toute l’économie du Québec qui est en jeu et les gens d’affaires montréalais l’ont bien compris. Nous demandons donc au premier ministre de passer des paroles à l’acte et qu’il envoie le chèque de 55 M$ promis à Montréal, à défaut de quoi les usagers du transport en commun de Montréal seront les premiers à écoper d’une augmentation de tarifs de plus de 20 % cette année », a déclaré Mme Dionne-Marsolais.
La porte-parole de l’opposition officielle pour la Métropole tient à féliciter la Chambre de commerce du Montréal métropolitain pour son initiative de regrouper les chefs de file montréalais en faveur de l’avenir de Montréal. « Les gens d’affaires montréalais sont bien placés pour apprécier l’importance, pour l’économie montréalaise et québécoise, d’avoir une métropole forte. J’espère que le premier ministre réalise l’urgence de la situation , a souligné la députée de Rosemont.
De plus, selon Mme Dionne-Marsolais, toute l’opération défusionniste dilapide l’argent des Montréalaises et des Montréalais. Elle ne fait que retarder l’engagement collectif pour une mise en valeur économique, sociale et culturelle de Montréal. « Lorsque le ministre Fournier explique que le retour aux anciennes municipalités est impossible, il dit clairement que les efforts pour recréer le passé sont inutiles. Il est temps que le gouvernement du Québec cesse d’encourager le gaspillage ! », a conclu la députée.
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