8 juin 2007

Une situation injustifiable – La députée de Rosemont, Rita Dionne-Marsolais, demande à la Présidente du Conseil du trésor, de régler l’injustice faite aux infirmières bachelières

Montréal, le vendredi 8 juin 2007 – Madame Rita Dionne-Marsolais, députée de Rosemont et porte-parole du Parti Québécois pour le Conseil du trésor, demande à la ministre des Finances et présidente du Conseil du trésor, Monique Jérôme-Forget, de réparer, au plus tôt, l’injustice qui a été faite contre les infirmières cliniciennes qui ont leur baccalauréat.

Montréal, le vendredi 8 juin 2007 – Madame Rita Dionne-Marsolais, députée de Rosemont et porte-parole du Parti Québécois pour le Conseil du trésor, demande à la ministre des Finances et présidente du Conseil du trésor, Monique Jérôme-Forget, de réparer, au plus tôt, l’injustice qui a été faite contre les infirmières cliniciennes qui ont leur baccalauréat. « C’est inimaginable. Pour améliorer les soins de santé, on demande à des personnes de poursuivre une formation au niveau universitaire pour parfaire leur connaissance et pour être plus aptes à répondre aux attentes de la population. Par contre, ces personnes ne retirent aucune rémunération additionnelle et cela se consolide par un revenu qui demeure le même et moins élevé que celui des diplômés collégiales ».

Madame Rita Dionne-Marsolais a tenu à rappeler, à l’Assemblée nationale, mercredi le 6 juin, que 14 294 infirmières ont accepté de poursuivre leur formation au niveau du baccalauréat. Alors qu’en 2001, le gouvernement du Parti Québécois procédait à un ajustement salarial pour les infirmières bachelières de façon à harmoniser leur rémunération selon leur scolarité, par rapport aux autres catégories d’emplois de la fonction publique, en 2007 le gouvernement libéral a choisi de les ignorer du règlement de l’équité salariale avec pour conséquence une iniquité salariale encore plus grande. C’est une situation inexcusable.

« Le gouvernement doit réagir dans les plus brefs délais et c’est à madame Jérôme-Forget, de le faire », de conclure la députée de Rosemont, Rita Dionne-Marsolais.

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