27 avril 2008

Rita Dionne-Marsolais très favorable à une nouvelle loi 101

La députée de Rosemont, Rita Dionne-Marsolais, est fière de dévoiler aux Rosemontois(es) les engagements pour la langue française pris aujourd’hui par la chef du Parti Québécois, Pauline Marois. « Une langue, c’est le ciment d’un peuple. Depuis 30 ans, la situation a beaucoup évolué au Québec. À Montréal, c’est particulièrement inquiétant. Les indicateurs sont clairs, il y a un recul du français dans la métropole. Des modifications et des renforcements importants doivent être apportés à la loi 101, parce qu’il est plus que temps que nous prenions soin de notre langue. », de déclarer la députée de Rosemont, Rita Dionne-Marsolais.

La députée de Rosemont, Rita Dionne-Marsolais, est fière de dévoiler aux Rosemontois(es) les engagements pour la langue française pris aujourd’hui par la chef du Parti Québécois, Pauline Marois. « Une langue, c’est le ciment d’un peuple. Depuis 30 ans, la situation a beaucoup évolué au Québec. À Montréal, c’est particulièrement inquiétant. Les indicateurs sont clairs, il y a un recul du français dans la métropole. Des modifications et des renforcements importants doivent être apportés à la loi 101, parce qu’il est plus que temps que nous prenions soin de notre langue. », de déclarer la députée de Rosemont, Rita Dionne-Marsolais.

Des objectifs clairs pour une langue plus forte
 
Ainsi, un gouvernement du Parti Québécois s’engage à :
 
• s’assurer de l’utilisation du français comme langue de l’administration dans les relations de l’État avec les entreprises et les citoyens;
• mettre en place des mesures spécifiques pour franciser entreprises et commerces (1 à 50 employés), en tenant compte d’abord de certains critères comme le nombre d’employés et leurs liens directs avec les consommateurs. Afin d’aider les entreprises et commerces dans ces démarches, des mesures fiscales incitatives, comme des crédits d’impôt, seraient mises en place;
• rendre la francisation disponible et obligatoire pour les nouveaux arrivants afin de favoriser leur intégration à la société québécoise;
• exiger de tout employeur dont les conditions d’embauche pour un emploi demandent la connaissance d’une autre langue de démontrer la nécessité de cette connaissance pour occuper l’emploi; 
• renforcer l’apprentissage du français dans les écoles primaires et secondaires;
• donner plus de pouvoirs à l’Office québécois de la langue française et les moyens nécessaires pour faire appliquer la loi, clarifier les rôles et les relations et établir des politiques claires, transparentes et des garanties de publication des études.
 
Lors de la dernière édition de l’infolettre de la députée de Rosemont, Mme Dionne-Marsolais a demandé aux citoyen(ne)s de Rosemont de lui donner leur opinion à la question suivante : Pensez-vous qu’il est temps de revoir la Loi 101 ?  « La très grande majorité des citoyens m’ont répondu que oui et ce, pour augmenter sa portée et la rendre plus sévère. Comme eux, je crois qu’une nouvelle loi 101 est nécessaire. Tant qu’on ne fera que se complaire dans des voeux pieux et de la bonne volonté, il n’y aura pas d’amélioration réelle de la situation. L’époque des rafistolages, des ajustements, des mesures volontaires, du laxisme dans l’application de la Charte, des phrases creuses et des images vides est révolue. Nous exigerons des résultats et c’est avec rigueur que la loi doit être appliquée. Il en va du rayonnement de notre langue. Je m’engage à y veiller au nom des citoyen(ne)s de Rosemont», de conclure la députée de Rosemont et présidente du caucus des députées du Parti Québécois, Rita Dionne-Marsolais.

Catégorie : Communiqués | Imprimer